De Beccaria et Voltaire aux codes criminels de 1808 et 1810 : la continuité anthropologique.
Contenu
Titre
De Beccaria et Voltaire aux codes criminels de 1808 et 1810 : la continuité anthropologique.
Auteur
MARTIN, Xavier
Résumé
Alors que la législation pénale de l'Assemblée se serait prévalue de l'humanisme de Voltaire et Beccaria, les codes criminels napoléoniens, avec leur regain de sévérité, auraient pris leurs distances avec cet humanisme. Or la prise en compte de l'anthropologie du temps relativise sensiblement un tel contraste : de Voltaire lui-même à Napoléon, Révolution incluse, elle a propension à mettre en valeur une continuité utilitariste, dont le battement des circonstances tout simplement, plus que des sautes dans les principes, aide à saisir l'ondulation.
Année
2011
Type
Article
Titre du périodique
Titre court
R.H.D.
Numéro
2011, n° 3, p. 377-405
Mot-clé
Anthropologie
Beccaria
Codes criminels (1791 à 1810)
Humanisme
Intention
Jury criminel
Libre arbitre
Mécanicisme
Peine de mort (Abolitionnisme)
Posthermidorienne (Logique)
Prison
Sensationnisme
Supplices
Target
Utilitarisme
Voltaire
XVIIIe
Beccaria
Codes criminels (1791 à 1810)
Humanisme
Intention
Jury criminel
Libre arbitre
Mécanicisme
Peine de mort (Abolitionnisme)
Posthermidorienne (Logique)
Prison
Sensationnisme
Supplices
Target
Utilitarisme
Voltaire
XVIIIe