L'action française dans le diocèse de Besançon. [Doubs]. [Thèse].
Item
Titre
L'action française dans le diocèse de Besançon. [Doubs]. [Thèse].
[Thèse de doctorat, Science politique, Aix-Marseille III, 1988].
Résumé de la thèse :
Les premières sections d'Action Française, dans le diocèse de Besancon, sont constituées en 1905 : le 7 janvier a l'Isle-sur-le-Doubs, le 2 mars à Vesoul. Hubert Bailly a crée à Vesoul "la brigade de fer" dès le 31 janvier 1904, premier journal (avant l'Action Française) à sous-titrer : "organe du nationalisme intégral". Les manifestations spectaculaires de ce nouveau mouvement sont encouragées par quelques aristocrates qui couvrent de leurs noms les audaces des premiers camelots du roi. En 1923 l'Action Française renait de ses cendres sous l'autorité de Jules de Trevillers, secrétaire d'un original "comite de propagande" dont la compétence territoriale s'exerce sur le diocèse de Besançon. L'influence de ce comité est à son apogée lorsque, fin 1926, le Vatican condamne l'Action française. Cette crise politico-religieuse engendre alors des conflits passionnés. Une Action Française des catacombes existera alors jusqu'à la déclaration de guerre en 1939. Un souci permanent de propagande, particulièrement dans les milieux les plus religieux, anima les principaux responsables. Leur condition modeste les obligea souvent a tendre la main pour intensifier leurs efforts de royalisation du pays comtois. (. . . )
[Thèse de doctorat, Science politique, Aix-Marseille III, 1988].
Résumé de la thèse :
Les premières sections d'Action Française, dans le diocèse de Besancon, sont constituées en 1905 : le 7 janvier a l'Isle-sur-le-Doubs, le 2 mars à Vesoul. Hubert Bailly a crée à Vesoul "la brigade de fer" dès le 31 janvier 1904, premier journal (avant l'Action Française) à sous-titrer : "organe du nationalisme intégral". Les manifestations spectaculaires de ce nouveau mouvement sont encouragées par quelques aristocrates qui couvrent de leurs noms les audaces des premiers camelots du roi. En 1923 l'Action Française renait de ses cendres sous l'autorité de Jules de Trevillers, secrétaire d'un original "comite de propagande" dont la compétence territoriale s'exerce sur le diocèse de Besançon. L'influence de ce comité est à son apogée lorsque, fin 1926, le Vatican condamne l'Action française. Cette crise politico-religieuse engendre alors des conflits passionnés. Une Action Française des catacombes existera alors jusqu'à la déclaration de guerre en 1939. Un souci permanent de propagande, particulièrement dans les milieux les plus religieux, anima les principaux responsables. Leur condition modeste les obligea souvent a tendre la main pour intensifier leurs efforts de royalisation du pays comtois. (. . . )
Auteur
GRENIER, André
Année
1988
Type
Thèse
Mot-clé
Action française
Histoire politique
Histoire religieuse
Diocèses
Besançon (Doubs)
Villes - Villages
Franche-Comté
Histoire des idées politiques
Royalisme
XXe
Histoire politique
Histoire religieuse
Diocèses
Besançon (Doubs)
Villes - Villages
Franche-Comté
Histoire des idées politiques
Royalisme
XXe