L'École royale militaire de Pontlevoy : Bénédictins de Saint-Maur et boursiers du roi (1776-1793). [Loir-et-Cher]. [Thèse].
Contenu
Titre
L'École royale militaire de Pontlevoy : Bénédictins de Saint-Maur et boursiers du roi (1776-1793). [Loir-et-Cher]. [Thèse].
Thèse de doctorat, Histoire moderne et contemporaine, Paris IV, 2011.
Résumé de la thèse :
Par un édit de janvier 1751 Louis XV créa l’Ecole royale militaire de Paris. Elle devait accueillir 500 boursiers du roi. En raison d’insuffisances notoires elle fut scindée en deux. Les enfants devaient acquérir les connaissances de base à La Flèche avant de rejoindre Paris. Ce système jugé coûteux fut réformé en 1776 par le comte de Saint-Germain. L’éducation des jeunes gens se fit, en province, dans des écoles tenues par des religieux puis à Paris ou dans des régiments. Peu de congrégations étaient susceptibles d’accueillir les boursiers ; celle de Saint-Maur obtint 6 collèges dont Pontlevoy. Quel enseignement y était donné ? Que lui apporta la présence de 50 boursiers du roi, chaque année, entre 1777 et 1793 ? Outre la réponse à ces questions, il fallait s’intéresser aux boursiers eux-mêmes, à leur origine, à leurs parents et à leurs revenus. Les règles de l’édit furent-elles respectées ? Les réformes de Saint-Germain visaient à améliorer le sort de cette noblesse provinciale, à récompenser ses talents. Le but fut-il atteint ?
Thèse de doctorat, Histoire moderne et contemporaine, Paris IV, 2011.
Résumé de la thèse :
Par un édit de janvier 1751 Louis XV créa l’Ecole royale militaire de Paris. Elle devait accueillir 500 boursiers du roi. En raison d’insuffisances notoires elle fut scindée en deux. Les enfants devaient acquérir les connaissances de base à La Flèche avant de rejoindre Paris. Ce système jugé coûteux fut réformé en 1776 par le comte de Saint-Germain. L’éducation des jeunes gens se fit, en province, dans des écoles tenues par des religieux puis à Paris ou dans des régiments. Peu de congrégations étaient susceptibles d’accueillir les boursiers ; celle de Saint-Maur obtint 6 collèges dont Pontlevoy. Quel enseignement y était donné ? Que lui apporta la présence de 50 boursiers du roi, chaque année, entre 1777 et 1793 ? Outre la réponse à ces questions, il fallait s’intéresser aux boursiers eux-mêmes, à leur origine, à leurs parents et à leurs revenus. Les règles de l’édit furent-elles respectées ? Les réformes de Saint-Germain visaient à améliorer le sort de cette noblesse provinciale, à récompenser ses talents. Le but fut-il atteint ?
Auteur
PORQUET, Daniel
Année
2011
Type
Thèse
Mot-clé
Écoles royales militaires
Pontlevoy (Loir-et-Cher)
Villes - villages
Bénédictins
Mauristes
Enseignement secondaire
Nobles - Noblesse
Boursiers du roi
Histoire sociale
Preuves de noblesse
XVIIIe
Pontlevoy (Loir-et-Cher)
Villes - villages
Bénédictins
Mauristes
Enseignement secondaire
Nobles - Noblesse
Boursiers du roi
Histoire sociale
Preuves de noblesse
XVIIIe