Dictionnaire des surintendants et contrôleurs généraux des finances, du XVIe siècle à la Révolution française de 1789.
Contenu
Titre
Dictionnaire des surintendants et contrôleurs généraux des finances, du XVIe siècle à la Révolution française de 1789.
Auteur
BAYARD, Françoise
FELIX, Joël
HAMON, Philippe
FELIX, Joël
HAMON, Philippe
Résumé
Présentation :
Ce dictionnaire présente les prédécesseurs des ministres des Finances d'aujourd'hui sous forme de notices biographiques, chacune illustrée par un portrait et un document autographe, quand cela a été possible. De Jacques de Beaune, baron de Semblançay qui se voit confier par une commission du 27 janvier 1518, " charge, connaissance et intendance du fait et maniement de toutes les finances, tant ordinaires qu'extraordinaires ", à Claude-Guillaume Lambert, contrôleur général des finances de 1790, guillotiné a Paris le 23 juin 1794, en passant par Sully, Colbert et Necker, tous, surintendant ou contrôleur général, sont présentés dans l'ordre chronologique de leur accession au ministère. Ainsi, voit-on se succéder de 1518 à 1790 cinquante-six personnalités aux destins divers. On découvre tour à tour leurs origines familiales, leur formation, leur carrière, leur action ministérielle. Mais au-delà de ces parcours individuels, on voit aussi se dessiner comme l'explique Françoise Bavard dans son introduction un " portrait robot " du ministre des Finances sous l'Ancien Régime : " Issus de familles importantes du pays aux ordres de la monarchie depuis au moins deux générations ou en cours d'ascension sociale, éduqués dès l'enfance, mariés avec les partis les plus puissants et les plus riches possibles, ils s'engagent dans des voies diverses et saisissent les opportunités que leur offrent leur entourage, les circonstances et leurs qualités personnelles. Leur passage aux finances peut n'être qu'une étape vers d'autres destinées ou qu'une activité parmi d'autres. Il constitue, le plus souvent, le couronnement d'une carrière déjà bien remplie au service du roi. Il n'en forme pas moins un temps essentiel dans la vie de la famille : les titres, les biens, la surface sociale et les alliances s'y accroissent de manière accélérée, d'autant plus frénétique, peut-être, que l'on sait la fragilité d'une fonction essentiellement politique ". Par cet ouvrage, le Comité pour l'histoire économique et financière de la France apporte une nouvelle contribution à l'histoire des administrations financières de la France et des hommes qui les ont dirigées.
Ce dictionnaire présente les prédécesseurs des ministres des Finances d'aujourd'hui sous forme de notices biographiques, chacune illustrée par un portrait et un document autographe, quand cela a été possible. De Jacques de Beaune, baron de Semblançay qui se voit confier par une commission du 27 janvier 1518, " charge, connaissance et intendance du fait et maniement de toutes les finances, tant ordinaires qu'extraordinaires ", à Claude-Guillaume Lambert, contrôleur général des finances de 1790, guillotiné a Paris le 23 juin 1794, en passant par Sully, Colbert et Necker, tous, surintendant ou contrôleur général, sont présentés dans l'ordre chronologique de leur accession au ministère. Ainsi, voit-on se succéder de 1518 à 1790 cinquante-six personnalités aux destins divers. On découvre tour à tour leurs origines familiales, leur formation, leur carrière, leur action ministérielle. Mais au-delà de ces parcours individuels, on voit aussi se dessiner comme l'explique Françoise Bavard dans son introduction un " portrait robot " du ministre des Finances sous l'Ancien Régime : " Issus de familles importantes du pays aux ordres de la monarchie depuis au moins deux générations ou en cours d'ascension sociale, éduqués dès l'enfance, mariés avec les partis les plus puissants et les plus riches possibles, ils s'engagent dans des voies diverses et saisissent les opportunités que leur offrent leur entourage, les circonstances et leurs qualités personnelles. Leur passage aux finances peut n'être qu'une étape vers d'autres destinées ou qu'une activité parmi d'autres. Il constitue, le plus souvent, le couronnement d'une carrière déjà bien remplie au service du roi. Il n'en forme pas moins un temps essentiel dans la vie de la famille : les titres, les biens, la surface sociale et les alliances s'y accroissent de manière accélérée, d'autant plus frénétique, peut-être, que l'on sait la fragilité d'une fonction essentiellement politique ". Par cet ouvrage, le Comité pour l'histoire économique et financière de la France apporte une nouvelle contribution à l'histoire des administrations financières de la France et des hommes qui les ont dirigées.
Editeur
Paris, Comité pour l'histoire économique et financière de la France
Année
2000
Type
Dictionnaires
Pages
215 p.
ISBN
9782110900913
Mot-clé
Dictionnaires
Surintendants des Finances
Contrôleurs généraux des Finances
XVIe, XVIIe, XVIIIe
Surintendants des Finances
Contrôleurs généraux des Finances
XVIe, XVIIe, XVIIIe