La bataille de Waterloo. [18 juin 1815].
Contenu
Titre
La bataille de Waterloo. [18 juin 1815].
Présentation de l'ouvrage :
À partir de témoignages de combattants français et anglais, le récit heure par heure de la dernière bataille de Napoléon par un spécialiste de la question.
18 juin 1815. Napoléon et Wellington sont enfin face à face. Avec eux, 140 000 hommes. Pour la première fois, l'auteur nous fait le récit de Waterloo, heure par heure, dessinant une fresque complète et réaliste d'un immense drame humain.
Comme pour <i>Les Soldats de la Grande Armée</i>, l'auteur raconte la bataille, ses prémices et ses lendemains, à partir de témoignages de combattants français et anglais, gradés et subalternes, mais aussi de femmes, de médecins et d'habitants. À travers leurs récits, l'auteur nous entraîne dans les pas de Napoléon, de son départ de l'Élysée à son embarquement pour Sainte-Hélène. À Gand, nous partageons les angoisses des royalistes émigrés avec Louis XVIII. Le 16 juin à l'aube, en compagnie du duc de Wellington et de ses officiers, nous quittons le bal des Alliés à Bruxelles pour aller combattre aux Quatre-Bras ; à Ligny, nous assistons à la dernière et sanglante victoire de l'armée impériale sur les Prussiens. Puis nous plongeons au cœur même des combats de la fatale journée du 18 : nous sommes dans les carrés anglais hérissés de baïonnettes ; nous chargeons avec les cuirassiers et les grenadiers à cheval, avec les lanciers, et, sous la mitraille et les boulets, nous suivons les vétérans de la Vieille Garde dans leur attaque désespérée contre Mont-Saint-Jean. Puis survient la fuite éperdue, sous les sabres des Prussiens déchaînés. Le lendemain, gisent sur le champ de bataille 50 000 morts et blessés.
Cet ouvrage nous fait comprendre que la perte de la bataille fut la conséquence de trahisons et d'une succession d'incroyables défaillances humaines, et que, jusqu'à la fin, son issue fut incertaine : de l'aveu même de l'entourage de Wellington, à six heures du soir, les Anglais allaient céder sous les assauts furieux des troupes françaises : le déferlement soudain des troupes prussiennes du maréchal Blücher les sauva d'une défaite probable, scella définitivement le sort de Napoléon, et redonna provisoirement à l'Europe son visage du passé.
Présentation de l'ouvrage :
À partir de témoignages de combattants français et anglais, le récit heure par heure de la dernière bataille de Napoléon par un spécialiste de la question.
18 juin 1815. Napoléon et Wellington sont enfin face à face. Avec eux, 140 000 hommes. Pour la première fois, l'auteur nous fait le récit de Waterloo, heure par heure, dessinant une fresque complète et réaliste d'un immense drame humain.
Comme pour <i>Les Soldats de la Grande Armée</i>, l'auteur raconte la bataille, ses prémices et ses lendemains, à partir de témoignages de combattants français et anglais, gradés et subalternes, mais aussi de femmes, de médecins et d'habitants. À travers leurs récits, l'auteur nous entraîne dans les pas de Napoléon, de son départ de l'Élysée à son embarquement pour Sainte-Hélène. À Gand, nous partageons les angoisses des royalistes émigrés avec Louis XVIII. Le 16 juin à l'aube, en compagnie du duc de Wellington et de ses officiers, nous quittons le bal des Alliés à Bruxelles pour aller combattre aux Quatre-Bras ; à Ligny, nous assistons à la dernière et sanglante victoire de l'armée impériale sur les Prussiens. Puis nous plongeons au cœur même des combats de la fatale journée du 18 : nous sommes dans les carrés anglais hérissés de baïonnettes ; nous chargeons avec les cuirassiers et les grenadiers à cheval, avec les lanciers, et, sous la mitraille et les boulets, nous suivons les vétérans de la Vieille Garde dans leur attaque désespérée contre Mont-Saint-Jean. Puis survient la fuite éperdue, sous les sabres des Prussiens déchaînés. Le lendemain, gisent sur le champ de bataille 50 000 morts et blessés.
Cet ouvrage nous fait comprendre que la perte de la bataille fut la conséquence de trahisons et d'une succession d'incroyables défaillances humaines, et que, jusqu'à la fin, son issue fut incertaine : de l'aveu même de l'entourage de Wellington, à six heures du soir, les Anglais allaient céder sous les assauts furieux des troupes françaises : le déferlement soudain des troupes prussiennes du maréchal Blücher les sauva d'une défaite probable, scella définitivement le sort de Napoléon, et redonna provisoirement à l'Europe son visage du passé.
Edition
Nouvelle éd. 2003.
Auteur
DAMAMME, Jean-Claude
Editeur
Paris, Perrin (<i>Collection Tempus</i>, 38)Paris, Le Grand Livre du mois
Année
1999
Type
sans
Pages
414 p.
ISBN
978-2262020491
Mot-clé
Waterloo (Belgique)
Batailles
Napoléon Bonaparte
Premier Empire
Cent Jours
Guerres du Consulat et du Premier Empire
XIXe
Batailles
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Cent Jours
Guerres du Consulat et du Premier Empire
XIXe