« Considérant le profond malaise qui règne chez les militants… » Aspects de la critique et de la parole militante au Parti socialiste SFIO sous la IVe République (1944-1958). [Thèse].
Contenu
Titre
« Considérant le profond malaise qui règne chez les militants… » Aspects de la critique et de la parole militante au Parti socialiste SFIO sous la IVe République (1944-1958). [Thèse].
[Thèse de l'École des chartes, 2012].
Introduction de la thèse :
L’idée initiale de cette étude était de se pencher sur le militantisme socialiste sous la IVe République dans son ensemble. Mais, face à l’ampleur de la question, et après une analyse approfondie du fonds des correspondances du Parti avec ses fédérations, qui constitue la principale source, il a été décidé de restreindre le champ d’étude, ce qui semblait plus raisonnable dans le temps imparti pour ce travail de thèse. Aussi faut-il lire l’optique choisie, à savoir l’étude de la critique et de la parole militante, comme un prétexte pour étudier le militantisme, ou plutôt pour tenter d’approcher un pan de l’opinion militante socialiste de l’époque.
Le choix de la « critique » militante comme angle d’attaque est somme toute assez logique, compte tenu des caractéristiques de la période étudiée : la IVe République représenta à bien des égards, jusqu’à aujourd’hui d’ailleurs, une plaie dans la conscience de la gauche française, car elle fut perçue comme le symbole des occasions manquées, des compromissions et des erreurs d’appréciation du socialisme de gouvernement. Il est donc normal de privilégier les critiques, la remise en cause dans les témoignages militants utilisables.
[Thèse de l'École des chartes, 2012].
Introduction de la thèse :
L’idée initiale de cette étude était de se pencher sur le militantisme socialiste sous la IVe République dans son ensemble. Mais, face à l’ampleur de la question, et après une analyse approfondie du fonds des correspondances du Parti avec ses fédérations, qui constitue la principale source, il a été décidé de restreindre le champ d’étude, ce qui semblait plus raisonnable dans le temps imparti pour ce travail de thèse. Aussi faut-il lire l’optique choisie, à savoir l’étude de la critique et de la parole militante, comme un prétexte pour étudier le militantisme, ou plutôt pour tenter d’approcher un pan de l’opinion militante socialiste de l’époque.
Le choix de la « critique » militante comme angle d’attaque est somme toute assez logique, compte tenu des caractéristiques de la période étudiée : la IVe République représenta à bien des égards, jusqu’à aujourd’hui d’ailleurs, une plaie dans la conscience de la gauche française, car elle fut perçue comme le symbole des occasions manquées, des compromissions et des erreurs d’appréciation du socialisme de gouvernement. Il est donc normal de privilégier les critiques, la remise en cause dans les témoignages militants utilisables.
Auteur
MICHEL, François
Année
2012
Type
Article
Mot-clé
Parti socialiste SFIO
Partis politique de Gauche
Histoire politique
Histoire des idées politiques
Socialismes
Quatrième République
XXe
Partis politique de Gauche
Histoire politique
Histoire des idées politiques
Socialismes
Quatrième République
XXe