Le Grand Séminaire de Toulouse au XIXe siecle : du Concordat à la séparation de l'Église et de l'État. [Thèse].
Contenu
Titre
Le Grand Séminaire de Toulouse au XIXe siecle : du Concordat à la séparation de l'Église et de l'État. [Thèse].
[Thèse de doctorat, Droit, Toulouse I, 1997. (Dactylographiée)].
Résumé de la thèse :
Le Concordat ouvre aux évêques français la possibilité d'établir, dans leur diocèse, un établissement destiné à former les jeunes aspirants au sacerdoce. Organisés par la loi, les grands séminaires sont des établissements publics ecclésiastiques dont la création et l'administration sont directement soumises à l'autorité de l'État. De par leur nature particulière, ils sont intimement liés à la vie de l'Église et dépendent étroitement de sa hiérarchie : évêques, archevêques et Saint-Siège. Plus d'un quart des séminaires de l'ère concordataire est confié à une congrégation spécialisée dans la formation des prêtres : la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice. C'est le cas du séminaire toulousain, ce qui permet, à travers son étude, de dresser un tableau assez général de la formation des prêtres du siècle dernier et de proposer une définition des institutions dans lesquelles cette formation était assurée. Dans cette optique, des questions d'un ordre varie ont été abordées. Elles s'intéressent aux cadres juridique et administratif du grand séminaire toulousain, bien sûr, mais aussi à tous les aspects liés à l'enseignement dispensé dans ses murs ainsi qu'aux personnes qui y demeurent. Ces différentes approches permettent de découvrir une institution peu connue de la France du XIXe siècle et d'en saisir toute la vitalité.
[Thèse de doctorat, Droit, Toulouse I, 1997. (Dactylographiée)].
Résumé de la thèse :
Le Concordat ouvre aux évêques français la possibilité d'établir, dans leur diocèse, un établissement destiné à former les jeunes aspirants au sacerdoce. Organisés par la loi, les grands séminaires sont des établissements publics ecclésiastiques dont la création et l'administration sont directement soumises à l'autorité de l'État. De par leur nature particulière, ils sont intimement liés à la vie de l'Église et dépendent étroitement de sa hiérarchie : évêques, archevêques et Saint-Siège. Plus d'un quart des séminaires de l'ère concordataire est confié à une congrégation spécialisée dans la formation des prêtres : la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice. C'est le cas du séminaire toulousain, ce qui permet, à travers son étude, de dresser un tableau assez général de la formation des prêtres du siècle dernier et de proposer une définition des institutions dans lesquelles cette formation était assurée. Dans cette optique, des questions d'un ordre varie ont été abordées. Elles s'intéressent aux cadres juridique et administratif du grand séminaire toulousain, bien sûr, mais aussi à tous les aspects liés à l'enseignement dispensé dans ses murs ainsi qu'aux personnes qui y demeurent. Ces différentes approches permettent de découvrir une institution peu connue de la France du XIXe siècle et d'en saisir toute la vitalité.
Auteur
BRUNET, Hélène
Année
1997
Type
Thèse
Mot-clé
Séminaires
Provinces ecclésiatiques
Toulouse (Haute-Garonne)
Diocèses
Albi (Tarn)
Auch (Gers)
Montauban
Pamiers (Ariège)
Rodez (Aveyron)
Tarbes (Hautes-Pyrénées)
Toulousain (Haute-Garonne)
Albigeois (Tarn)
Gascogne (Gers)
Quercy (Tarn-et-Garonne)
Languedoc
Rouergue (Aveyron)
Cahors (Lot)
Bigorre (Haute-Pyrénées)
Provinces ecclésiatiques
Toulouse (Haute-Garonne)
Diocèses
Albi (Tarn)
Auch (Gers)
Montauban
Pamiers (Ariège)
Rodez (Aveyron)
Tarbes (Hautes-Pyrénées)
Toulousain (Haute-Garonne)
Albigeois (Tarn)
Gascogne (Gers)
Quercy (Tarn-et-Garonne)
Languedoc
Rouergue (Aveyron)
Cahors (Lot)
Bigorre (Haute-Pyrénées)