Les chauffeurs du Santerre. [Somme].
Item
Titre
Les chauffeurs du Santerre. [Somme].
Présentation de la réédition :
« Selon un message du Directoire en date du 11 frimaire an V (1er décembre 1796), la sûreté intérieure de la République est attaquée par des criminels d’un nouveau genre contre lesquels nos lois n’offrent que des moyens de répression dont l’insuffisance est chaque jour reconnue. Des voleurs, signalés sous le nom de chauffeurs, se répandent dans plusieurs départements et désolent les villes et les campagnes. Ce ne sont pas des malfaiteurs isolés que l’instinct du crime, la soif du pillage convient contre le citoyen paisible ; ce sont des brigands réunis par brigades, organisés sous des chefs, marchant d’après des instructions, formant enfin, au milieu de la société, une sorte de confédération armée pour la détruire dans ses éléments ; tantôt ils pénètrent dans les maisons particulières, s’emparent de ceux qui les habitent et commettent sur leurs personnes toutes les violences que peut inventer la férocité la plus raffinée pour les forcer à leur livrer ce qu’ils ont de plus précieux ; tantôt ils se portent sur les routes, attaquent les voitures publiques et les courriers, les dévalisent et présentent aux voyageurs des scènes d’horreur qui leur font redouter les communications les moins éloignées ».
Après une consciencieuse étude sur le sujet, M. Adrien Varloy nous raconte ici les dernières convulsions de ces bandes qui sévirent dans le Santerre entre 1802 et 1857.
Présentation de la réédition :
« Selon un message du Directoire en date du 11 frimaire an V (1er décembre 1796), la sûreté intérieure de la République est attaquée par des criminels d’un nouveau genre contre lesquels nos lois n’offrent que des moyens de répression dont l’insuffisance est chaque jour reconnue. Des voleurs, signalés sous le nom de chauffeurs, se répandent dans plusieurs départements et désolent les villes et les campagnes. Ce ne sont pas des malfaiteurs isolés que l’instinct du crime, la soif du pillage convient contre le citoyen paisible ; ce sont des brigands réunis par brigades, organisés sous des chefs, marchant d’après des instructions, formant enfin, au milieu de la société, une sorte de confédération armée pour la détruire dans ses éléments ; tantôt ils pénètrent dans les maisons particulières, s’emparent de ceux qui les habitent et commettent sur leurs personnes toutes les violences que peut inventer la férocité la plus raffinée pour les forcer à leur livrer ce qu’ils ont de plus précieux ; tantôt ils se portent sur les routes, attaquent les voitures publiques et les courriers, les dévalisent et présentent aux voyageurs des scènes d’horreur qui leur font redouter les communications les moins éloignées ».
Après une consciencieuse étude sur le sujet, M. Adrien Varloy nous raconte ici les dernières convulsions de ces bandes qui sévirent dans le Santerre entre 1802 et 1857.
Edition
[Reproduction en fac-similé : Paris, La vague verte, 1999, 218 p.
Auteur
VALROY, Adrien
Editeur
Paris, Bonvalot-Jouve
Année
1907
Type
Monographie
Pages
218 p.
ISBN
978-2908227970
Mot-clé
Brigands - Brigandages
Chauffeurs (Brigands)
Santerre (Somme)
Picardie (Somme)
XVIIIe, XIXe
Chauffeurs (Brigands)
Santerre (Somme)
Picardie (Somme)
XVIIIe, XIXe