Une culture du risque maritime : aventures et destins des corsaires granvillais (1688-1815). [Granville (Manche)]. [Thèse].
Item
Titre
Une culture du risque maritime : aventures et destins des corsaires granvillais (1688-1815). [Granville (Manche)]. [Thèse].
[Thèse de doctorat, Histoire moderne et contemporaine, Caen, 2010].
Résumé de la thèse :
L'objectif de cette thèse est de mieux connaitre l'activité corsaire du port de Granville de 1688 à 1815, tant du point de vue historique que social. En confrontant des sources provinciales et parisiennes, et en traitant informatiquement les informations recueillies, apparait toute la réalité d'un port qui pratiquait régulièrement la guerre de course pendant la « Seconde Guerre de Cent Ans ». Après avoir fait connaissance avec la cité granvillaise à travers son histoire, ses infrastructures, sa population et ses activités maritimes, une réflexion s'engage pour cerner précisément l'activité corsaire du point de vue législatif : Qu'est-ce qu’un corsaire ? Les armements en guerre et marchandise peuvent-ils être considérés comme corsaires ? La guerre de course, telle qu’elle fut pratiquée par les Granvillais, est alors étudiée conflit par conflit pour établir la liste des corsaires, pour dégager les caractéristiques de la course locale quant aux bâtiments et aux hommes, mais aussi pour suivre les diverses évolutions entre 1688 et 1815 en les comparant régulièrement à celles d'autres ports corsaires comme Dunkerque et Saint-Malo. Outre ce volet historique et économique, une troisième partie est particulièrement consacrée aux acteurs de la course granvillaise : les armateurs, les capitaines et les équipages Que peut-on découvrir sur leur profil, leurs motivations, leurs aventures ? Quels étaient les risques encourus et les récompenses ? Que peut-on en conclure sur la culture du risque maritime ?
[Thèse de doctorat, Histoire moderne et contemporaine, Caen, 2010].
Résumé de la thèse :
L'objectif de cette thèse est de mieux connaitre l'activité corsaire du port de Granville de 1688 à 1815, tant du point de vue historique que social. En confrontant des sources provinciales et parisiennes, et en traitant informatiquement les informations recueillies, apparait toute la réalité d'un port qui pratiquait régulièrement la guerre de course pendant la « Seconde Guerre de Cent Ans ». Après avoir fait connaissance avec la cité granvillaise à travers son histoire, ses infrastructures, sa population et ses activités maritimes, une réflexion s'engage pour cerner précisément l'activité corsaire du point de vue législatif : Qu'est-ce qu’un corsaire ? Les armements en guerre et marchandise peuvent-ils être considérés comme corsaires ? La guerre de course, telle qu’elle fut pratiquée par les Granvillais, est alors étudiée conflit par conflit pour établir la liste des corsaires, pour dégager les caractéristiques de la course locale quant aux bâtiments et aux hommes, mais aussi pour suivre les diverses évolutions entre 1688 et 1815 en les comparant régulièrement à celles d'autres ports corsaires comme Dunkerque et Saint-Malo. Outre ce volet historique et économique, une troisième partie est particulièrement consacrée aux acteurs de la course granvillaise : les armateurs, les capitaines et les équipages Que peut-on découvrir sur leur profil, leurs motivations, leurs aventures ? Quels étaient les risques encourus et les récompenses ? Que peut-on en conclure sur la culture du risque maritime ?
Auteur
AUMONT, Michel
Année
2010
Type
Thèse
Mot-clé
Granville (Manche)
Villes - Villages
Cotentin (Manche)
Normandie
Corsaires - Guerre de course
Marins
Histoire sociale
Risques maritimes
Histoire urbaine
Armateurs
XVIIe, XVIIIe, XIXe
Villes - Villages
Cotentin (Manche)
Normandie
Corsaires - Guerre de course
Marins
Histoire sociale
Risques maritimes
Histoire urbaine
Armateurs
XVIIe, XVIIIe, XIXe