Les constitutions et l'observance de l'Oratoire aux XVIIe et XVIIIe siècles. [Thèse].
Contenu
Titre
Les constitutions et l'observance de l'Oratoire aux XVIIe et XVIIIe siècles. [Thèse].
[Thèse de l'École des Chartes, 1980].
Introduction de la thèse :
Fondé le 10 novembre 1611 par Pierre de Bérulle et érigé canoniquement le 10 mai 1613 par la bulle <i>Sacrosanctae</i>, l’Oratoire se caractérise par le souci d’associer apostolat et vie commune dans le cadre d’une congrégation purement séculière. Une telle synthèse n’est pas entièrement novatrice : elle s’inspire de quelques précédents (Compagnie de Jésus, Oratoire philippin, Oblats de Saint-Ambroise et Doctrine chrétienne).
L’Oratorien, bien que voué aux activités pastorales, mène un genre de vie proche de celui des religieux. Bérulle veut pour ses disciples un régime plus austère que celui de la Vallicelle. L’accent doit être mis sur la séparation d’avec le monde, la contemplation et la prière, la « pauvreté en usage ».
En 629, à la mort de Bérulle, l’Oratoire n’a toujours pas de constitutions. Son fondateur n’a laissé sur la vie commune que des indications sommaires, enregistrées au Parlement le 10 juillet 1630 sous le nom de <i>Règlements domestiques ou statuts</i>. Les premières constitutions datent de 1634. Très incomplètes, elles connaissent une seconde rédaction en 1641. Les actes des assemblées règlent dans le détail les points que les constitutions ne font qu’aborder.
[Thèse de l'École des Chartes, 1980].
Introduction de la thèse :
Fondé le 10 novembre 1611 par Pierre de Bérulle et érigé canoniquement le 10 mai 1613 par la bulle <i>Sacrosanctae</i>, l’Oratoire se caractérise par le souci d’associer apostolat et vie commune dans le cadre d’une congrégation purement séculière. Une telle synthèse n’est pas entièrement novatrice : elle s’inspire de quelques précédents (Compagnie de Jésus, Oratoire philippin, Oblats de Saint-Ambroise et Doctrine chrétienne).
L’Oratorien, bien que voué aux activités pastorales, mène un genre de vie proche de celui des religieux. Bérulle veut pour ses disciples un régime plus austère que celui de la Vallicelle. L’accent doit être mis sur la séparation d’avec le monde, la contemplation et la prière, la « pauvreté en usage ».
En 629, à la mort de Bérulle, l’Oratoire n’a toujours pas de constitutions. Son fondateur n’a laissé sur la vie commune que des indications sommaires, enregistrées au Parlement le 10 juillet 1630 sous le nom de <i>Règlements domestiques ou statuts</i>. Les premières constitutions datent de 1634. Très incomplètes, elles connaissent une seconde rédaction en 1641. Les actes des assemblées règlent dans le détail les points que les constitutions ne font qu’aborder.
Auteur
BLANC, Brigitte
Année
1980
Type
Thèse
Titre du périodique
Numéro
1980, p. 17-22
Mot-clé
Oratoire de France - Oratoriens
Pierre de Bérulle (1575-1629)
Constitutions religieuses
Histoire religieuse
Histoire ecclésiastique
XVIIe, XVIIIe
Pierre de Bérulle (1575-1629)
Constitutions religieuses
Histoire religieuse
Histoire ecclésiastique
XVIIe, XVIIIe