Au service du roi catholique : honorables ambassadeurs et divins espions : représentation diplomatique et service secret dans les relations hispano-françaises de 1598 à 1635. [Ouvrage].
Contenu
Titre
Au service du roi catholique : honorables ambassadeurs et divins espions : représentation diplomatique et service secret dans les relations hispano-françaises de 1598 à 1635. [Ouvrage].
[Texte remanié d'un thèse de doctorat, Histoire, Caen, 1996, même titre].
Présentation de l'éditeur :
Pendant les trente-sept ans qui séparent les guerres de Religion et les conflits généralisés du « siècle de fer » ou, en d'autres termes, une Chrétienté dominée par des questions eschatologiques et l'Europe issue des paix de Westphalie, les deux principales puissances catholiques sont en paix. Cette période est un terrain d'étude privilégié pour l'histoire des relations diplomatiques. Efficace et aguerrie, la diplomatie de la monarchie ibérique impose l'image de la puissance royale. Façonnée par les nouvelles formes de gouvernement qui apparaissent alors, elle préfigure la diplomatie moderne et son envers inséparable, l'espionnage. Le monarque hispanique entretient avec le Roi Très-Chrétien et ses sujets des relations ambiguës, exploitant les mécontentements qui se font jour au nord des Pyrénées. Par l'intermédiaire de ses « honorables ambassadeurs », il joue de son charisme religieux, hérité de ses aïeux, qui s'étend largement au-delà des limites de la Péninsule grâce à l'argent d'Amérique. L'impact de cette action se mesure au nombre des « divins espions » ralliés à la cause de l'Espagne et dont la fidélité, après la rupture avec leur souverain, s'adresse désormais à la personne même du roi d'Espagne.
[Texte remanié d'un thèse de doctorat, Histoire, Caen, 1996, même titre].
Présentation de l'éditeur :
Pendant les trente-sept ans qui séparent les guerres de Religion et les conflits généralisés du « siècle de fer » ou, en d'autres termes, une Chrétienté dominée par des questions eschatologiques et l'Europe issue des paix de Westphalie, les deux principales puissances catholiques sont en paix. Cette période est un terrain d'étude privilégié pour l'histoire des relations diplomatiques. Efficace et aguerrie, la diplomatie de la monarchie ibérique impose l'image de la puissance royale. Façonnée par les nouvelles formes de gouvernement qui apparaissent alors, elle préfigure la diplomatie moderne et son envers inséparable, l'espionnage. Le monarque hispanique entretient avec le Roi Très-Chrétien et ses sujets des relations ambiguës, exploitant les mécontentements qui se font jour au nord des Pyrénées. Par l'intermédiaire de ses « honorables ambassadeurs », il joue de son charisme religieux, hérité de ses aïeux, qui s'étend largement au-delà des limites de la Péninsule grâce à l'argent d'Amérique. L'impact de cette action se mesure au nombre des « divins espions » ralliés à la cause de l'Espagne et dont la fidélité, après la rupture avec leur souverain, s'adresse désormais à la personne même du roi d'Espagne.
Auteur
HUGON, Alain
Editeur
Madrid, Casa de Velazquez (Bibliothèque de la Casa de Velazquez ; volume 28)
Année
2004
Type
Monographie
Pages
XII-700 p.
ISBN
9788495555595
Mot-clé
Ambassadeurs
Espions - Espionnage
Diplomates - Diplomatie
Services secrets
Espagne
XVIe, XVIIe
Espions - Espionnage
Diplomates - Diplomatie
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Espagne
XVIe, XVIIe