Recherches sur les palais épiscopaux en France à l’époque concordataire (1802-1905). L’évêque en son palais. [Thèse].
Contenu
Titre
Recherches sur les palais épiscopaux en France à l’époque concordataire (1802-1905). L’évêque en son palais. [Thèse].
[Thèse de l'École des chartes, 2000].
Introduction de la thèse :
Résidence urbaine et centre du pouvoir religieux dans le diocèse, le palais épiscopal du XIXe siècle symbolise la place que l’évêque continue d’occuper au sein de la société. Lors du rétablissement du culte catholique en 1802, l’État met à la disposition des évêques les anciens palais confisqués sons la Révolution et se charge de leur entretien. Aussi l’étude de ces résidences à l’époque concordataire met-elle en jeu plusieurs éléments : l’histoire des relations entre les prélats et le pouvoir politique ; le rôle de la fonction épiscopale dans la hiérarchie ecclésiastique ; la place du pouvoir religieux dans la ville.
Il convient de s’intéresser tant aux anciens palais épiscopaux restitués qu’aux édifices affectés en remplacement, et aux nouvelles constructions du XIXe siècle. C’est pourquoi l’analyse s’appuie sur divers exemples pris dans les provinces ecclésiastiques de Paris, Tours et Rouen, parmi lesquels les palais d’Angers, Beauvais, Chartres, Le Mans, Orléans, Paris, Rouen, Sées et Tours retiennent particulièrement l’attention.
L’unité de la période concordataire impose les limites chronologiques du sujet : du lendemain de la signature du Concordat en 1802 jusqu’au vote de la loi de Séparation en 1905 et à l’évacuation des palais épiscopaux.
[Thèse de l'École des chartes, 2000].
Introduction de la thèse :
Résidence urbaine et centre du pouvoir religieux dans le diocèse, le palais épiscopal du XIXe siècle symbolise la place que l’évêque continue d’occuper au sein de la société. Lors du rétablissement du culte catholique en 1802, l’État met à la disposition des évêques les anciens palais confisqués sons la Révolution et se charge de leur entretien. Aussi l’étude de ces résidences à l’époque concordataire met-elle en jeu plusieurs éléments : l’histoire des relations entre les prélats et le pouvoir politique ; le rôle de la fonction épiscopale dans la hiérarchie ecclésiastique ; la place du pouvoir religieux dans la ville.
Il convient de s’intéresser tant aux anciens palais épiscopaux restitués qu’aux édifices affectés en remplacement, et aux nouvelles constructions du XIXe siècle. C’est pourquoi l’analyse s’appuie sur divers exemples pris dans les provinces ecclésiastiques de Paris, Tours et Rouen, parmi lesquels les palais d’Angers, Beauvais, Chartres, Le Mans, Orléans, Paris, Rouen, Sées et Tours retiennent particulièrement l’attention.
L’unité de la période concordataire impose les limites chronologiques du sujet : du lendemain de la signature du Concordat en 1802 jusqu’au vote de la loi de Séparation en 1905 et à l’évacuation des palais épiscopaux.
Auteur
BLENNER, Séverine
Année
2000
Type
Thèse
Mot-clé
Évêques - Épiscopat
Régime concordataire
Palais épiscopaux
XIXe, XXe
Régime concordataire
Palais épiscopaux
XIXe, XXe