La franc-maçonnerie parisienne sous le Second Empire (1852-1870). [Thèse].
Contenu
Titre
La franc-maçonnerie parisienne sous le Second Empire (1852-1870). [Thèse].
[Thèse de doctorat, Histoire contemporaine, Paris IV, 2008].
Résumé de la thèse :
La franc-maçonnerie est selon l'Encyclopédie Larousse une "association en partie secrète de personnes qui professent des principes de fraternité, se reconnaissent entre elles à des signes et à des emblèmes, et se divisent en groupes appelés loges". On peut s'interroger sur le devenir de celle-ci à Paris entre 1852 et 1870. Le choix d'une telle période s'inscrit dans une volonté de revalorisation du second Empire souvent oublié. S'interroger sur la situation de la franc-maçonnerie au sein de la capitale amène également à se poser de multiples questions. Existe-t-il une singularité parisienne au niveau des loges étudiées ? La proximité du pouvoir impérial a-t-il pu avoir des incidences ? Remarque-t-on des caractéristiques sociales notables ? Pour mener ce travail, le chercheur bénéficie outre ses propres investigations d'œuvres importantes sur lesquelles il peut s'appuyer. Il faut signaler ainsi l'étude effectuée par Vincent Wright et Sudhir Hazareesingh sur les loges du Grand Orient à la veille de la IIIe République. Cette approche provinciale dresse le tableau des ateliers provinciaux pendant une partie de l’Empire et permet de nombreuses comparaisons en même temps qu'une mise en perspective utile par rapport à la situation parisienne. Celle-ci a été de surcroît abordée sous plusieurs aspects par André Combes lors d'Histoires générales mais aussi par le biais d’articles ponctuels. Cette thèse sur la Franc-maçonnerie parisienne sous le second Empire s'intéresse donc aux traits distinctifs de celle-ci tout en cherchant à y distinguer les différentes tendances oscillant entre continuités et changements.
[Thèse de doctorat, Histoire contemporaine, Paris IV, 2008].
Résumé de la thèse :
La franc-maçonnerie est selon l'Encyclopédie Larousse une "association en partie secrète de personnes qui professent des principes de fraternité, se reconnaissent entre elles à des signes et à des emblèmes, et se divisent en groupes appelés loges". On peut s'interroger sur le devenir de celle-ci à Paris entre 1852 et 1870. Le choix d'une telle période s'inscrit dans une volonté de revalorisation du second Empire souvent oublié. S'interroger sur la situation de la franc-maçonnerie au sein de la capitale amène également à se poser de multiples questions. Existe-t-il une singularité parisienne au niveau des loges étudiées ? La proximité du pouvoir impérial a-t-il pu avoir des incidences ? Remarque-t-on des caractéristiques sociales notables ? Pour mener ce travail, le chercheur bénéficie outre ses propres investigations d'œuvres importantes sur lesquelles il peut s'appuyer. Il faut signaler ainsi l'étude effectuée par Vincent Wright et Sudhir Hazareesingh sur les loges du Grand Orient à la veille de la IIIe République. Cette approche provinciale dresse le tableau des ateliers provinciaux pendant une partie de l’Empire et permet de nombreuses comparaisons en même temps qu'une mise en perspective utile par rapport à la situation parisienne. Celle-ci a été de surcroît abordée sous plusieurs aspects par André Combes lors d'Histoires générales mais aussi par le biais d’articles ponctuels. Cette thèse sur la Franc-maçonnerie parisienne sous le second Empire s'intéresse donc aux traits distinctifs de celle-ci tout en cherchant à y distinguer les différentes tendances oscillant entre continuités et changements.
Auteur
GRÉGOIRE, Laurence
Année
2008
Type
Thèse
Mot-clé
Paris
Francs-maçons - Franc-maçonnerie
Grand Orient de France
Rites - Rituels
Rite écossais
Laïcité
Loges maçonniques
XIXe
Francs-maçons - Franc-maçonnerie
Grand Orient de France
Rites - Rituels
Rite écossais
Laïcité
Loges maçonniques
XIXe