Mandrin, d'après de nombreux documents inédits.
Contenu
Titre
Mandrin, d'après de nombreux documents inédits.
Présentation de l'ouvrage :
Ces nouvelles « Mandrinades » sont l'occasion de retrouver celui dont Stendhal disait qu'il eut « cent fois plus de talent militaire que tous les généraux de son temps ».
Mandrin vécut une aventure étonnante que René Fontvieille évoque ici avec beaucoup de talent et d'authenticité. Né le 11 février 1925 à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, il se retrouve très tôt chef d'une famille nombreuse. Il entre en 1753 dans la bande du contrebandier Jean Bélissard dont il prend très vite la tête. Mandrin recrute avec soin ses troupes chez les soldats français déserteurs pour lutter contre les employés de la Ferme et fait ainsi « trembler les suppôts du fisc », comme l'écrit Voltaire. Il se réfugie en Suisse et en Savoie où les contrebandiers s'approvisionnent.
Mandrin mènera six campagnes avant d'être arrêté. Dans la nuit du 10 au 11 mai 1755, une troupe de 500 hommes franchira la frontière franco-sarde pour l'enlever. Après un procès retentissant à Valence, il sera condamné à être rompu vif comme « chef de contrebandiers, criminels, assassins, voleurs et perturbateurs de repos public ». Six mille étrangers assisteront à son exécution.
L'action de Mandrin eut de grandes répercutions sur l'histoire de notre pays et son aventure dépasse le folklore. Ce passionnant ouvrage, résultat de longues recherches, permet de mieux connaître l'homme et, sans doute, de revoir l'idée que l'on s'en fait à travers les biographies succintes.© Micberth
Présentation de l'ouvrage :
Ces nouvelles « Mandrinades » sont l'occasion de retrouver celui dont Stendhal disait qu'il eut « cent fois plus de talent militaire que tous les généraux de son temps ».
Mandrin vécut une aventure étonnante que René Fontvieille évoque ici avec beaucoup de talent et d'authenticité. Né le 11 février 1925 à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, il se retrouve très tôt chef d'une famille nombreuse. Il entre en 1753 dans la bande du contrebandier Jean Bélissard dont il prend très vite la tête. Mandrin recrute avec soin ses troupes chez les soldats français déserteurs pour lutter contre les employés de la Ferme et fait ainsi « trembler les suppôts du fisc », comme l'écrit Voltaire. Il se réfugie en Suisse et en Savoie où les contrebandiers s'approvisionnent.
Mandrin mènera six campagnes avant d'être arrêté. Dans la nuit du 10 au 11 mai 1755, une troupe de 500 hommes franchira la frontière franco-sarde pour l'enlever. Après un procès retentissant à Valence, il sera condamné à être rompu vif comme « chef de contrebandiers, criminels, assassins, voleurs et perturbateurs de repos public ». Six mille étrangers assisteront à son exécution.
L'action de Mandrin eut de grandes répercutions sur l'histoire de notre pays et son aventure dépasse le folklore. Ce passionnant ouvrage, résultat de longues recherches, permet de mieux connaître l'homme et, sans doute, de revoir l'idée que l'on s'en fait à travers les biographies succintes.© Micberth
Auteur
FONVIEILLE, René
Editeur
Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire (Collection <i>Des faits et des hommes</i>)
Année
1995
Type
Monographie
Pages
VII-319 p.
ISBN
9782841780389
Mot-clé
Louis Mandrin (1724-1755)
Biographies
Contrebande - Contrebandiers
Brigands - Brigandages
Bandits de grands chemins
Vols de grands chemins
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