Le maniement du savoir. Pratiques intellectuelles à l'époque des premières universités (XIIIe-XIVe siècles).
Contenu
Titre
Le maniement du savoir. Pratiques intellectuelles à l'époque des premières universités (XIIIe-XIVe siècles).
Présentation de l'éditeur :
Les pratiques intellectuelles qui font l'objet de ce livre sont en quelque sorte la base du travail intellectuel accompli au temps des premières universités (XIIIe - XIVe siècles): on devait acquérir un certain nombre de notions et de mécanismes avant de se spécialiser dans des disciplines comme le droit, la médecine ou la théologie, ou avant de remplir d'autres fonctions importantes dans la société.
A partir du début du XIIIe siècle, cette base s'acquérait le plus souvent à la Faculté des arts. Elle fournissait l'instruction préparatoire aux études dans les Facultés supérieures, mais elle dispensait aussi un enseignement complet, de caractère philosophique. C'est là que les étudiants apprenaient à penser, à raisonner, à manière les outils du travail intellectuel. C'est donc la Faculté des arts qui est au centre des dix premiers chapitres de ce livre.
Dans les derniers chapitres, on sort du domaine de la Faculté des arts et même de l'université, pour étudier quelques pratiques intellectuelles communes aux intellectuels en général. Certaines d'entre elles sont liées à la culture universitaire, mais elles dépassent ce cadre du point vue chronologique comme du point de vue de leur emploi dans la société médiévale.
Chacun des thèmes est illustré par des exemples pris dans les sources primaires: statuts, commentaires, traités, "<i>reportationes</i>" de disputes, tables, etc. en partie éditées, mais souvent aussi restées manuscrites. Tous les textes cités sont donnés en traduction française. L'Appendice rassemble les textes originaux, en latin et, dans un cas, en ancien français.
Présentation de l'éditeur :
Les pratiques intellectuelles qui font l'objet de ce livre sont en quelque sorte la base du travail intellectuel accompli au temps des premières universités (XIIIe - XIVe siècles): on devait acquérir un certain nombre de notions et de mécanismes avant de se spécialiser dans des disciplines comme le droit, la médecine ou la théologie, ou avant de remplir d'autres fonctions importantes dans la société.
A partir du début du XIIIe siècle, cette base s'acquérait le plus souvent à la Faculté des arts. Elle fournissait l'instruction préparatoire aux études dans les Facultés supérieures, mais elle dispensait aussi un enseignement complet, de caractère philosophique. C'est là que les étudiants apprenaient à penser, à raisonner, à manière les outils du travail intellectuel. C'est donc la Faculté des arts qui est au centre des dix premiers chapitres de ce livre.
Dans les derniers chapitres, on sort du domaine de la Faculté des arts et même de l'université, pour étudier quelques pratiques intellectuelles communes aux intellectuels en général. Certaines d'entre elles sont liées à la culture universitaire, mais elles dépassent ce cadre du point vue chronologique comme du point de vue de leur emploi dans la société médiévale.
Chacun des thèmes est illustré par des exemples pris dans les sources primaires: statuts, commentaires, traités, "<i>reportationes</i>" de disputes, tables, etc. en partie éditées, mais souvent aussi restées manuscrites. Tous les textes cités sont donnés en traduction française. L'Appendice rassemble les textes originaux, en latin et, dans un cas, en ancien français.
Auteur
WEIJERS, O.
Editeur
Paris, Brepols
Année
1997
Type
Monographie
Pages
266 p.
ISBN
978-2-503-50531-2
Mot-clé
Histoire intellectuelle
Pratiques intellectuelles
Universités
Facultés des Arts
XIIIe, XIVe
Pratiques intellectuelles
Universités
Facultés des Arts
XIIIe, XIVe