La Duchesse du Maine ou la conspiration de Cellamare [1718].
Contenu
Titre
La Duchesse du Maine ou la conspiration de Cellamare [1718].
[Anne-Louise-Bénédicte de Bourbon-Condé, duchesse du Maine (1676-1753)]. Conspiration de Cellamare : complot monté par l'Espagne pour retirer la régence de France à Philippe d'Orléans].
Présentation de l'ouvrage :
“Frondeuse” soixante ans après La Fronde, “précieuse” quarante ans après Molière, la duchesse du Maine n’est pourtant pas une anachronique. Née Anne-Louise-Bénédicte de Bourbon-Condé, elle était petite, presque naine, mais pétillante d’esprit et dévorée d’une ambition démesurée. Elle aimait la gloire. Elle l’aima d’ailleurs un peu trop... Férue de belles lettres et de tragédies antiques, cette princesse prit, semble-t-il, la scène politique pour celle d’un théâtre. Son rêve : déposer le Régent, prendre sa place et, qui sait, devenir reine de France. La « Conspiration de Cellamare » manqua cependant de s’achever en tragédie. Mais la duchesse du Maine, c’est aussi la grande dame de Sceaux qui, en généreuse mécène, accueillait à sa « Cour » les plus grands esprits de la première moitié du siècle des Lumières.
[Anne-Louise-Bénédicte de Bourbon-Condé, duchesse du Maine (1676-1753)]. Conspiration de Cellamare : complot monté par l'Espagne pour retirer la régence de France à Philippe d'Orléans].
Présentation de l'ouvrage :
“Frondeuse” soixante ans après La Fronde, “précieuse” quarante ans après Molière, la duchesse du Maine n’est pourtant pas une anachronique. Née Anne-Louise-Bénédicte de Bourbon-Condé, elle était petite, presque naine, mais pétillante d’esprit et dévorée d’une ambition démesurée. Elle aimait la gloire. Elle l’aima d’ailleurs un peu trop... Férue de belles lettres et de tragédies antiques, cette princesse prit, semble-t-il, la scène politique pour celle d’un théâtre. Son rêve : déposer le Régent, prendre sa place et, qui sait, devenir reine de France. La « Conspiration de Cellamare » manqua cependant de s’achever en tragédie. Mais la duchesse du Maine, c’est aussi la grande dame de Sceaux qui, en généreuse mécène, accueillait à sa « Cour » les plus grands esprits de la première moitié du siècle des Lumières.
Auteur
DEBRIFFE, Martial
Editeur
Paris, L'Encre
Année
1995
Type
Monographie
Pages
222 p.
ISBN
2911202058
Mot-clé
Anne-Louise-Bénédicte de Bourbon-Condé, duchesse du Maine
Conspirations
Cellamare
Régence
XVIIIe
Conspirations
Cellamare
Régence
XVIIIe