Des écoles de l'Orléanais à l'Université d'Orléans : Xe siècle-début du XIVe siècle. [Loiret]. [Thèse].
Contenu
Titre
Des écoles de l'Orléanais à l'Université d'Orléans : Xe siècle-début du XIVe siècle. [Loiret]. [Thèse].
Thèse de doctorat d'État, Paris X-Nanterre, 1994. [5 volumes].
Résumé de la thèse :
Cette thèse se veut une histoire de l'enseignement au sens large du terme (contenus et méthodes pédagogiques, institutions, personnels concernés), dans un cadre chronologique relativement long (quatre siècles) et un espace géographique restreint, l'Orléanais (cadre retenu : l'ancien diocèse d'Orléans). Une première partie s'attache, à travers l'étude des productions intellectuelles et des illustrations humaines, à reconstituer l'enseignement des écoles héritées de la renaissance carolingienne, celles monastiques de Fleury (Saint-Benoit-sur-Loire) et Micy-saint-Mesmin (Xe- XIIe s. ). Et celles urbaines d'Orléans, accessoirement Meung-sur-Loire (XIIe-XIIIe s. ). La deuxième partie, après un tour d'horizon des productions de l'espace ligérien en matière d'<i>ars dictaminis</i> (art de la rédaction des lettres), s'efforce de dégager la vision de la société, et en particulier du monde des écoles, qui était celle des maitres de cette discipline aux XIIe et XIIIe siècles. La troisième partie, axée sur l'institutionnel, retrace l'évolution qui conduit des écoles, au sens concret du terme des XIIe et XIIIe siècles à l'institution de la nation universitaire, sanctionnée par les bulles du pape Clément V du 27 janvier 1306, reconnue dans les faits, après une longue crise, en 1320. Un large appendice biographique, consacre aux personnels du <i>studium</i> juridique du XIIe s. , fait suite à cette troisième partie, qu'il replace dans sa dimension humaine.
Thèse de doctorat d'État, Paris X-Nanterre, 1994. [5 volumes].
Résumé de la thèse :
Cette thèse se veut une histoire de l'enseignement au sens large du terme (contenus et méthodes pédagogiques, institutions, personnels concernés), dans un cadre chronologique relativement long (quatre siècles) et un espace géographique restreint, l'Orléanais (cadre retenu : l'ancien diocèse d'Orléans). Une première partie s'attache, à travers l'étude des productions intellectuelles et des illustrations humaines, à reconstituer l'enseignement des écoles héritées de la renaissance carolingienne, celles monastiques de Fleury (Saint-Benoit-sur-Loire) et Micy-saint-Mesmin (Xe- XIIe s. ). Et celles urbaines d'Orléans, accessoirement Meung-sur-Loire (XIIe-XIIIe s. ). La deuxième partie, après un tour d'horizon des productions de l'espace ligérien en matière d'<i>ars dictaminis</i> (art de la rédaction des lettres), s'efforce de dégager la vision de la société, et en particulier du monde des écoles, qui était celle des maitres de cette discipline aux XIIe et XIIIe siècles. La troisième partie, axée sur l'institutionnel, retrace l'évolution qui conduit des écoles, au sens concret du terme des XIIe et XIIIe siècles à l'institution de la nation universitaire, sanctionnée par les bulles du pape Clément V du 27 janvier 1306, reconnue dans les faits, après une longue crise, en 1320. Un large appendice biographique, consacre aux personnels du <i>studium</i> juridique du XIIe s. , fait suite à cette troisième partie, qu'il replace dans sa dimension humaine.
Auteur
VULLIEZ, Charles
Année
1994
Type
Thèse
Mot-clé
Enseignement supérieur
Université d'Orléans
Écoles monastiques
Orléanais (Loiret)
Xe, XIe, XIIe, XIIIe, XIV
Université d'Orléans
Écoles monastiques
Orléanais (Loiret)
Xe, XIe, XIIe, XIIIe, XIV