John Locke, le second Traité du gouvernement. Essai sur la véritable origine, l'étendue et la fin du gouvernement civil.
Contenu
Titre
John Locke, le second Traité du gouvernement. Essai sur la véritable origine, l'étendue et la fin du gouvernement civil.
Résumé de l'ouvrage :
Publiés sans nom d'auteur en octobre 1689, les Deux traités du gouvernement de John Locke ont très tôt acquis le statut d'un classique de la pensée politique ; dans une lettre à son ami William Molyneux, puis, à nouveau, dans une note destinée à servir de plan d'éducation pour un jeune gentleman, Locke lui-même les range aux côtés de la Politique d'Aristote et des <i>Laws ecclesiastical polity</i> de Richard Hooker parmi les livres qu'il convient de connaître pour s'initier aux mystères du gouvernement et de la propriété. Locke n'en reconnaîtra explicitement la paternité que dans un codicille à son testament daté du 15 septembre 1704, un peu plus d'un mois avant sa mort. La raison de cet anonymat est difficile à percer, mais on peut conjecturer que, même après le triomphe de la Glorieuse Révolution, la prudence devait inciter Locke à ne pas avouer un écrit qui, en cas de restauration des Stuarts, pouvait devenir un danger pour son auteur.
Trois siècles plus tard, les Traités suscitent toujours des interprétations divergentes.
Résumé de l'ouvrage :
Publiés sans nom d'auteur en octobre 1689, les Deux traités du gouvernement de John Locke ont très tôt acquis le statut d'un classique de la pensée politique ; dans une lettre à son ami William Molyneux, puis, à nouveau, dans une note destinée à servir de plan d'éducation pour un jeune gentleman, Locke lui-même les range aux côtés de la Politique d'Aristote et des <i>Laws ecclesiastical polity</i> de Richard Hooker parmi les livres qu'il convient de connaître pour s'initier aux mystères du gouvernement et de la propriété. Locke n'en reconnaîtra explicitement la paternité que dans un codicille à son testament daté du 15 septembre 1704, un peu plus d'un mois avant sa mort. La raison de cet anonymat est difficile à percer, mais on peut conjecturer que, même après le triomphe de la Glorieuse Révolution, la prudence devait inciter Locke à ne pas avouer un écrit qui, en cas de restauration des Stuarts, pouvait devenir un danger pour son auteur.
Trois siècles plus tard, les Traités suscitent toujours des interprétations divergentes.
Auteur
SPITZ, Jean-Martin (édité par)
LAZZERI, Christian (édité par)
LAZZERI, Christian (édité par)
Editeur
Paris, P.U.F.
Année
1994
Type
Monographie
Pages
LXXX-303 p.
ISBN
978-2-13-045839-5
Mot-clé
John Locke
Histoire des idées politiques
Histoire de la pensée politique
XVIIe, XVIIIe
Histoire des idées politiques
Histoire de la pensée politique
XVIIe, XVIIIe