Approche géohistorique de la gestion et de la prévention du risque d'inondation : le cas de la vallée de la Lauch (Haut-Rhin) de 1778 à nos jours. [Thèse].
Contenu
Titre
Approche géohistorique de la gestion et de la prévention du risque d'inondation : le cas de la vallée de la Lauch (Haut-Rhin) de 1778 à nos jours. [Thèse].
Thèse de doctorat, Histoire, Mulhouse, 2014.
Résumé de la thèse :
Parmi les risques naturels, le risque d’inondation est le plus fréquent et le plus dommageable en France avec près de 50 % des communes exposées. Dans le département du Haut-Rhin, c’est 80 % des communes qui sont concernées. L’absence d’étude historique approfondie sur les inondations en Alsace et plus particulièrement sur celles de la Lauch, théâtre des derniers grands évènements, a constitué la principale motivation quant au choix de ce sujet. À défaut de pouvoir éradiquer ce risque, l’Homme a, au cours de l’histoire, engagé des actions palliatives pour s’en prémunir. De quelle manière et dans quelle mesure, les évènements historiques ont-ils été pris en considération dans les politiques de gestion et de prévention du risque d’inondation mises en place dans la vallée de la Lauch, durant plus de deux siècles ? Pour répondre à cette problématique, nous avons eu recours à une approche diachronique, avec pour point de départ l’évènement funeste de février 1990, et adopté une démarche interdisciplinaire. S’appuyant sur un important corpus de sources, cette thèse met en perspective l’évolution de la gestion des inondations sur la période considérée en fonction des évènements hydrologiques restitués via une méthode régressive, des enjeux, des contextes politiques très contrastés, et des acteurs, tant au plan local, national, qu’européen. S’inscrivant dans une logique de démarche appliquée, cette étude a pour ambition d’améliorer l’information sur les phénomènes et de constituer un « socle de connaissances scientifiques » pour une meilleure maîtrise du risque. Ainsi, il paraît fondamental de connaître l’aléa afin de pouvoir l’anticiper, s’en prémunir et mieux le gérer.
Thèse de doctorat, Histoire, Mulhouse, 2014.
Résumé de la thèse :
Parmi les risques naturels, le risque d’inondation est le plus fréquent et le plus dommageable en France avec près de 50 % des communes exposées. Dans le département du Haut-Rhin, c’est 80 % des communes qui sont concernées. L’absence d’étude historique approfondie sur les inondations en Alsace et plus particulièrement sur celles de la Lauch, théâtre des derniers grands évènements, a constitué la principale motivation quant au choix de ce sujet. À défaut de pouvoir éradiquer ce risque, l’Homme a, au cours de l’histoire, engagé des actions palliatives pour s’en prémunir. De quelle manière et dans quelle mesure, les évènements historiques ont-ils été pris en considération dans les politiques de gestion et de prévention du risque d’inondation mises en place dans la vallée de la Lauch, durant plus de deux siècles ? Pour répondre à cette problématique, nous avons eu recours à une approche diachronique, avec pour point de départ l’évènement funeste de février 1990, et adopté une démarche interdisciplinaire. S’appuyant sur un important corpus de sources, cette thèse met en perspective l’évolution de la gestion des inondations sur la période considérée en fonction des évènements hydrologiques restitués via une méthode régressive, des enjeux, des contextes politiques très contrastés, et des acteurs, tant au plan local, national, qu’européen. S’inscrivant dans une logique de démarche appliquée, cette étude a pour ambition d’améliorer l’information sur les phénomènes et de constituer un « socle de connaissances scientifiques » pour une meilleure maîtrise du risque. Ainsi, il paraît fondamental de connaître l’aléa afin de pouvoir l’anticiper, s’en prémunir et mieux le gérer.
Auteur
WITH, Lauriane
Année
2014
Type
Thèse
Mot-clé
Histoire de l'environnement
Risques naturels
Calamités
Inondations
Vallée de la Lauch (Haut-Rhin)
Alsace
XVIIIe, XIXe, XXe
Risques naturels
Calamités
Inondations
Vallée de la Lauch (Haut-Rhin)
Alsace
XVIIIe, XIXe, XXe