Atlas de la Révolution française. Tome I : Routes et communications.
Contenu
Titre
Atlas de la Révolution française. Tome I : Routes et communications.
Quatrième de couverture :
Quatrième de couverture :
Auteur
ARBELLOT, Guy
LEPETIT, Bernard
Sur quelles voies circule-t-on en 1789 ? Comment ces voies sont-elles construites et utilisées ? Routes et communications s'efforce de répondre à ces interrogations en présentant le bilan graphique des recherches actuelles en ce domaine. Les routes de ce temps ? Notre réseau autoroutier mis à part, ce sont celles d'aujourd'hui mais avec la poussière ou la boue en plus, et sans le miraculeux asphalte. Les rivières navigables ? Elles sont très nombreuses au service des petites embarcations de l'époque. La construction et l'entretien des chaussées ? Faute du même asphalte, elles ont longtemps été le cauchemar des paysans astreints à la corvée et elles restent toujours le casse-tête des ingénieurs et des gouvernants. Les usagers ? Ce sont surtout des piétons et des charretiers des campagnes. Mais les grandes entreprises de transports sont déjà très actives : la poste, les voitures publiques pour les personnes, le roulage et la batellerie pour les marchandises. Et les voitures particulières commencent aussi à se multiplier, véhiculant sur les routes la plupart des rares témoins qui aient écrit sur leurs voyages. La vitesse des communications ? Cent kilomètres par jour en moyenne pour la poste et les diligences ; moitié moins pour les autres moyens de transport. Un monde à deux vitesses, par conséquent, dont le cheval est encore au ras du sol le principal moteur, mais qui découvre aussi dans le ballon et le télégraphe des solutions révolutionnaires.
LEPETIT, Bernard
Sur quelles voies circule-t-on en 1789 ? Comment ces voies sont-elles construites et utilisées ? Routes et communications s'efforce de répondre à ces interrogations en présentant le bilan graphique des recherches actuelles en ce domaine. Les routes de ce temps ? Notre réseau autoroutier mis à part, ce sont celles d'aujourd'hui mais avec la poussière ou la boue en plus, et sans le miraculeux asphalte. Les rivières navigables ? Elles sont très nombreuses au service des petites embarcations de l'époque. La construction et l'entretien des chaussées ? Faute du même asphalte, elles ont longtemps été le cauchemar des paysans astreints à la corvée et elles restent toujours le casse-tête des ingénieurs et des gouvernants. Les usagers ? Ce sont surtout des piétons et des charretiers des campagnes. Mais les grandes entreprises de transports sont déjà très actives : la poste, les voitures publiques pour les personnes, le roulage et la batellerie pour les marchandises. Et les voitures particulières commencent aussi à se multiplier, véhiculant sur les routes la plupart des rares témoins qui aient écrit sur leurs voyages. La vitesse des communications ? Cent kilomètres par jour en moyenne pour la poste et les diligences ; moitié moins pour les autres moyens de transport. Un monde à deux vitesses, par conséquent, dont le cheval est encore au ras du sol le principal moteur, mais qui découvre aussi dans le ballon et le télégraphe des solutions révolutionnaires.
Editeur
Paris, Editions de l'Ecole des hautes études en sciences sociales
Année
1995
Type
Monographie
Pages
91 p.
Mot-clé
Routes et chemins
Transports terrestres
Navigations fluviale
Voyages - Voyageurs
Postes et messageries
Diligences
Révolution française
XVIIIe
Transports terrestres
Navigations fluviale
Voyages - Voyageurs
Postes et messageries
Diligences
Révolution française
XVIIIe