Charlotte-Élisabeth de Bavière, duchesse d'Orléans [Princesse Palatine], lettres françaises (1652-1722).
Contenu
Titre
Charlotte-Élisabeth de Bavière, duchesse d'Orléans [Princesse Palatine], lettres françaises (1652-1722).
Edition
[Élisabeth-Charlotte de Bavière (1652-1722), duchesse d'Orléans].
Auteur
VAN DER CRUYSSE (édité par), Dirk
Résumé
Présentation de l'éditeur :
Qui savait que Madame Palatine (Élisabeth Charlotte, duchesse d'Orléans) a écrit près de la moitié de sa correspondance monumentale en français ? Qui savait que la belle-sœur allemande de Louis XIV mérite une place de choix parmi les écrivains du Grand Siècle ? Voici, rassemblées pour la première fois, les 850 lettres françaises conservées ; elles étaient soit inédites, soit publiées sous forme d'extraits dans des revues allemandes du XIXe siècle. Une édition intégrale s'imposait, établie sur les originaux dépistés dans une vingtaine d'archives et collections françaises, allemandes (RFA et RDA), autrichiennes, suisses, espagnoles et anglaises.
Que ces lettres soient longues ou brèves, que ce soient des lettres de cour ou d'amitié, on y retrouve invariablement les qualités qui rendent la princesse si attachante : son bon sens, son cœur exquis et généreux, son humour, sa santé morale, sa simplicité qui n'exclut pas un ton de princesse, sa curiosité intellectuelle, sa capacité si rare d'oublier ses propres misères en se penchant sur celles de ses amis.
"Je ne vous écris que pour que mes lettres ne soient vues que de vous", écrit-elle à l'un de ses correspondants. Et encore : "Je serais bien effrayée si je voyais de mes lettres imprimées !". La bonne princesse se trompait, car c'est précisément l'absence de la moindre intention littéraire qui garantit la spontanéité et le charme de sa correspondance.
Qui savait que Madame Palatine (Élisabeth Charlotte, duchesse d'Orléans) a écrit près de la moitié de sa correspondance monumentale en français ? Qui savait que la belle-sœur allemande de Louis XIV mérite une place de choix parmi les écrivains du Grand Siècle ? Voici, rassemblées pour la première fois, les 850 lettres françaises conservées ; elles étaient soit inédites, soit publiées sous forme d'extraits dans des revues allemandes du XIXe siècle. Une édition intégrale s'imposait, établie sur les originaux dépistés dans une vingtaine d'archives et collections françaises, allemandes (RFA et RDA), autrichiennes, suisses, espagnoles et anglaises.
Que ces lettres soient longues ou brèves, que ce soient des lettres de cour ou d'amitié, on y retrouve invariablement les qualités qui rendent la princesse si attachante : son bon sens, son cœur exquis et généreux, son humour, sa santé morale, sa simplicité qui n'exclut pas un ton de princesse, sa curiosité intellectuelle, sa capacité si rare d'oublier ses propres misères en se penchant sur celles de ses amis.
"Je ne vous écris que pour que mes lettres ne soient vues que de vous", écrit-elle à l'un de ses correspondants. Et encore : "Je serais bien effrayée si je voyais de mes lettres imprimées !". La bonne princesse se trompait, car c'est précisément l'absence de la moindre intention littéraire qui garantit la spontanéité et le charme de sa correspondance.
Editeur
Paris, Fayard (Collection <i>Histoire</i>)
Année
1989
Type
Monographie
Pages
825 p.
Mot-clé
Élisabeth-Charlotte de Bavière
Duchesse d'Orléans
Princesse Palatine
Lettres - Correspondance
XVIIe, XVIIIe
Duchesse d'Orléans
Princesse Palatine
Lettres - Correspondance
XVIIe, XVIIIe