La philosophie du droit et la philosophie politique d'Adolphe Thiers.
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Titre
La philosophie du droit et la philosophie politique d'Adolphe Thiers.
Mémoire de D.E.A., PAris II.
Quatrième de couverture :
C'est entre la fin de la Révolution française prise dans son acception brève (l815) et la fin de la Révolution prise dans son sens long (vers 1875-1880), qu'Adolphe Thiers passe sa vie. Lorsqu'il meurt, la République est installée, le cycle révolutionnaire est clos, comme, d'une certaine manière, le XIXe siècle. Homme "d'aucun parti ", Thiers, historien de 1789, a été de toutes les révolutions du siècle : acteur de 1830 porté au pouvoir avec la monarchie de juillet, rallié à 1848 puis opposant du Second Empire, symbole du 4 septembre et grand liquidateur de la Commune de 1871. Un homme. Trois révolutions. Il fabrique l'une, évite la seconde puis s'y associe, combat la troisième. Egalement père de la monarchie de juillet et de la Troisième république, Thiers est parvenu à "dompter la Révolution française". En décapitant le socialisme en 1871, il rend paradoxalement les républicains fréquentables et peut devenir le héros de la République. Au moment de sa mort, il s'apprête à prendre avec l'accord de Gambetta là tête des républicains pour redevenir, sous leur banderole, président de la République. Est-ce l'homme qui a changé ? Est-ce la forme révolutionnaire ? Cet ouvrage qui est autant un travail sur la philosophie politique de Thiers qu'une étude sur les principaux espaces de polarisation de sa théorie du droit (suffrage universel, séparation des pouvoirs, souveraineté nationale, bicaméralisme ...), tend à montrer un visage nouveau de cet homme du "juste-milieu", qui résume le XIXe siècle et en épouse les conflits et les contradictions. L'ouvrage comporte 26 annexes et une bibliographie critique de plus de 200 références.
Mémoire de D.E.A., PAris II.
Quatrième de couverture :
C'est entre la fin de la Révolution française prise dans son acception brève (l815) et la fin de la Révolution prise dans son sens long (vers 1875-1880), qu'Adolphe Thiers passe sa vie. Lorsqu'il meurt, la République est installée, le cycle révolutionnaire est clos, comme, d'une certaine manière, le XIXe siècle. Homme "d'aucun parti ", Thiers, historien de 1789, a été de toutes les révolutions du siècle : acteur de 1830 porté au pouvoir avec la monarchie de juillet, rallié à 1848 puis opposant du Second Empire, symbole du 4 septembre et grand liquidateur de la Commune de 1871. Un homme. Trois révolutions. Il fabrique l'une, évite la seconde puis s'y associe, combat la troisième. Egalement père de la monarchie de juillet et de la Troisième république, Thiers est parvenu à "dompter la Révolution française". En décapitant le socialisme en 1871, il rend paradoxalement les républicains fréquentables et peut devenir le héros de la République. Au moment de sa mort, il s'apprête à prendre avec l'accord de Gambetta là tête des républicains pour redevenir, sous leur banderole, président de la République. Est-ce l'homme qui a changé ? Est-ce la forme révolutionnaire ? Cet ouvrage qui est autant un travail sur la philosophie politique de Thiers qu'une étude sur les principaux espaces de polarisation de sa théorie du droit (suffrage universel, séparation des pouvoirs, souveraineté nationale, bicaméralisme ...), tend à montrer un visage nouveau de cet homme du "juste-milieu", qui résume le XIXe siècle et en épouse les conflits et les contradictions. L'ouvrage comporte 26 annexes et une bibliographie critique de plus de 200 références.
Auteur
MARTEL, F.
Editeur
Paris, L.G.D.J., Travaux et recherches Panthéon-Assas Paris II
Année
1998
Type
Monographie
Pages
136 p.
Mot-clé
Adolphe Thiers
Philosophie du droit
Philosophie politique
Suffrage universel
Séparation des pouvoirs
Souveraineté nationale
Bicaméralisme
XIXe
Philosophie du droit
Philosophie politique
Suffrage universel
Séparation des pouvoirs
Souveraineté nationale
Bicaméralisme
XIXe