Histoire des idées politiques de l'Antiquité à la fin du XVIII siècle [5e éd.].
Item
Titre
Histoire des idées politiques de l'Antiquité à la fin du XVIII siècle [5e éd.].
Auteur
LAVROFF, Dimitri Georges
Résumé
Présentation de l'éditeur :
Depuis toujours les hommes se sont interrogés sur l'organisation de la société et la nature du pouvoir politique. Les théories ou doctrines politiques passées ont durablement marqué l'histoire des idées.
Les textes de l'Antiquité ont inspiré les hommes de la révolution américaine, ou ceux de 1789. Byzance, qui domina un empire plus de 1 000 ans, permet de comprendre les rapports entre le prince et l'Église. Le pape, l'empereur et les rois se sont disputé le titre de souverain. L'Arabie ouvre une nouvelle civilisation avec le Coran. La Réforme divise la chrétienté et le pouvoir des monarques est contesté. Machiavel propose une conception pragmatique du pouvoir : le politique se sépare de la morale et ses idées prospéreront.
L'absolutisme royal triomphe pour un temps mais il est remis en cause par la philosophie des Lumières. Le contrat passé avec les gouvernants pouvait conduire soit à un pouvoir totalitaire avec Hobbes soit à un pouvoir limité avec Locke ou Montesquieu. Rousseau, défenseur de la souveraineté populaire, préconise l'établissement d'un pouvoir absolu de la majorité. Une nouvelle légitimité politique conduit aux révolutions américaine et française mais la pensée contre-révolutionnaire résiste.
Les oeuvres les plus anciennes ne sont pas démodées. C'est dans ce fond commun de la pensée jusqu'au siècle que se trouve l'origine de tous les débats actuels.
Depuis toujours les hommes se sont interrogés sur l'organisation de la société et la nature du pouvoir politique. Les théories ou doctrines politiques passées ont durablement marqué l'histoire des idées.
Les textes de l'Antiquité ont inspiré les hommes de la révolution américaine, ou ceux de 1789. Byzance, qui domina un empire plus de 1 000 ans, permet de comprendre les rapports entre le prince et l'Église. Le pape, l'empereur et les rois se sont disputé le titre de souverain. L'Arabie ouvre une nouvelle civilisation avec le Coran. La Réforme divise la chrétienté et le pouvoir des monarques est contesté. Machiavel propose une conception pragmatique du pouvoir : le politique se sépare de la morale et ses idées prospéreront.
L'absolutisme royal triomphe pour un temps mais il est remis en cause par la philosophie des Lumières. Le contrat passé avec les gouvernants pouvait conduire soit à un pouvoir totalitaire avec Hobbes soit à un pouvoir limité avec Locke ou Montesquieu. Rousseau, défenseur de la souveraineté populaire, préconise l'établissement d'un pouvoir absolu de la majorité. Une nouvelle légitimité politique conduit aux révolutions américaine et française mais la pensée contre-révolutionnaire résiste.
Les oeuvres les plus anciennes ne sont pas démodées. C'est dans ce fond commun de la pensée jusqu'au siècle que se trouve l'origine de tous les débats actuels.
Editeur
Paris, Dalloz (<i>Mémentos Dalloz. Série Droit public, science politique</i>).
Année
2007
Type
Manuel
Pages
154 p.
Mot-clé
Histoire des idées politiques