L'organisation des professions médicales sous l'Ancien Régime : entre corporatisme et autorité royale (XVIe-XVIIIe siècle). [Thèse].
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Titre
L'organisation des professions médicales sous l'Ancien Régime : entre corporatisme et autorité royale (XVIe-XVIIIe siècle). [Thèse].
[Thèse de doctorat, Histoire du Droit, Université Panthéon-Assas, Paris II, 2004 (2 volumes)].
Résumé de la thèse :
A compter des années 1560, la pratique médicale en France est progressivement encadrée. Ce développement corporatif est soutenu par la Couronne. Le roi s'appuie également sur sa Maison médicale et son premier médecin pour développer une organisation rationnelle des professions médicales. Cette politique royale se heurte aux corporations et à la Faculté de médecine de Paris. À partir des années 1690, s'affirme de plus en plus l'autorité royale sur les corporations. La Maison médicale au XVIIIe siècle s'accroît, ses chefs deviennent particulièrement influents et puissants. Si le monopole juridique des corporations médicales s'affirme, le roi, appuyé sur sa Maison médicale, attire également de nombreux praticiens sous sa coupe. Par ailleurs, la réglementation des professions médicales s'exerce principalement au bénéfice des chirurgiens. La politique royale aboutit à un corporatisme maîtrisé consacré par la législation consulaire.
[Thèse de doctorat, Histoire du Droit, Université Panthéon-Assas, Paris II, 2004 (2 volumes)].
Résumé de la thèse :
A compter des années 1560, la pratique médicale en France est progressivement encadrée. Ce développement corporatif est soutenu par la Couronne. Le roi s'appuie également sur sa Maison médicale et son premier médecin pour développer une organisation rationnelle des professions médicales. Cette politique royale se heurte aux corporations et à la Faculté de médecine de Paris. À partir des années 1690, s'affirme de plus en plus l'autorité royale sur les corporations. La Maison médicale au XVIIIe siècle s'accroît, ses chefs deviennent particulièrement influents et puissants. Si le monopole juridique des corporations médicales s'affirme, le roi, appuyé sur sa Maison médicale, attire également de nombreux praticiens sous sa coupe. Par ailleurs, la réglementation des professions médicales s'exerce principalement au bénéfice des chirurgiens. La politique royale aboutit à un corporatisme maîtrisé consacré par la législation consulaire.
Auteur
LUNEL, Alexandre
Année
2004
Type
Thèse
Pages
1145 p.
Mot-clé
Droit médical
XVIe, XVIIe, XVIIIe
Ancien Régime
Maison médicale du roi
Corporatisme
Médecine - Médecins
Chirurgiens - Barbiers
Apothicaires
Premiers médecins du roi
Police sanitaire
Épidémies
Jardin du roi
Eaux minérales
Santé publique
Droit de la santé
XVIe, XVIIe, XVIIIe
XVIe, XVIIe, XVIIIe
Ancien Régime
Maison médicale du roi
Corporatisme
Médecine - Médecins
Chirurgiens - Barbiers
Apothicaires
Premiers médecins du roi
Police sanitaire
Épidémies
Jardin du roi
Eaux minérales
Santé publique
Droit de la santé
XVIe, XVIIe, XVIIIe