Les derniers corsaires de la Manche. [1789-1815].
Item
Titre
Les derniers corsaires de la Manche. [1789-1815].
Présentation de l'ouvrage :
De 1793 à la fin de l’Empire, durant vingt années, de nombreux « mercenaires » de la mer, ces corsaires de la Petite Course en Manche, ont cru que la fortune les attendait au coin de quelque cap de cette côte d’Angleterre, ou encore en quelque baie de ces îles normandes bizarrement restées britanniques… Des cotres, des lougres, des chasse-marée de Dunkerque, Fécamp, Cherbourg ou Morlaix, vont sillonner le « Channel » en quête de quelque gros brick pansu, renfermant dans ses flancs ces richesses insoupçonnées venues des paradis d’outre-mer… Il en est résulté une partie longue et difficile à jouer, tant pour les armateurs que pour les équipages. Faire le récit d’un « coup de peigne » se réduit-il à l’histoire d’un audacieux vol à la tire, toléré voire encouragé, ou encore la simple évocation d’un « coup de panache » à la française ? Vingt années de guerre entre la France et la nation qui connaissait le mieux l’art de la guerre sur mer, c’est-à-dire l’Angleterre, n’ont pas permis de répondre à cette question.
Présentation de l'ouvrage :
De 1793 à la fin de l’Empire, durant vingt années, de nombreux « mercenaires » de la mer, ces corsaires de la Petite Course en Manche, ont cru que la fortune les attendait au coin de quelque cap de cette côte d’Angleterre, ou encore en quelque baie de ces îles normandes bizarrement restées britanniques… Des cotres, des lougres, des chasse-marée de Dunkerque, Fécamp, Cherbourg ou Morlaix, vont sillonner le « Channel » en quête de quelque gros brick pansu, renfermant dans ses flancs ces richesses insoupçonnées venues des paradis d’outre-mer… Il en est résulté une partie longue et difficile à jouer, tant pour les armateurs que pour les équipages. Faire le récit d’un « coup de peigne » se réduit-il à l’histoire d’un audacieux vol à la tire, toléré voire encouragé, ou encore la simple évocation d’un « coup de panache » à la française ? Vingt années de guerre entre la France et la nation qui connaissait le mieux l’art de la guerre sur mer, c’est-à-dire l’Angleterre, n’ont pas permis de répondre à cette question.
Auteur
BLÉMUS, René
Editeur
Rennes, Éditions Ouest-France
Année
1994
Type
Monographie
Pages
168 p.
Mot-clé
Courses - Corsaires
Normandie
Révolution française
Consulat
Premier Empire
XVIIIe, XIXe
Normandie
Révolution française
Consulat
Premier Empire
XVIIIe, XIXe