La littérature saisie par le droit. La création littéraire
Item
Titre
La littérature saisie par le droit. La création littéraire
Auteur
VIVANT, Michel
Résumé
Droit et littérature : il y a bien longtemps que les deux termes se conjuguent ensemble dans le monde anglo-saxon (le courant Law and Littérature où il est né y est fortement implanté), avec les différentes facettes que la conjonction peut offrir : le droit de la littérature, le droit comme littérature, le droit dans la littérature... Aujourd’hui, le Vieux Continent n’est pas vierge de tels regards même si cette voie n’est guère empruntée dans les Facultés de droit.
Pour le juriste français, le droit de la littérature est certainement ce qui est le plus abordable. Il y retrouve la technicité dont il est pétri. Les deux premières notices ont choisi cette approche mais en s’efforçant toutefois de sortir de cette pure technicité qui est un excellent moyen d’ignorer ce que recouvrent vraiment les normes. Lecture sémiotique ? Ce serait sans doute beaucoup dire. Lecture au moins qui s’efforce de ne pas rester à la surface des choses juridiques.
Quant à la troisième et dernière notice, c’est davantage de droit dans la littérature qu’il est question – de droit de la création littéraire bien sûr puisque tel est le thème de cette chronique –, sans que l’ouvrage considéré aborde nécessairement de manière frontale la question qui intéresse le juriste mais pour autant que c’est « dans ces genres non juridique [contes, bandes dessinées, romans] qu’il faut chercher la vie des normes ».
Pour le juriste français, le droit de la littérature est certainement ce qui est le plus abordable. Il y retrouve la technicité dont il est pétri. Les deux premières notices ont choisi cette approche mais en s’efforçant toutefois de sortir de cette pure technicité qui est un excellent moyen d’ignorer ce que recouvrent vraiment les normes. Lecture sémiotique ? Ce serait sans doute beaucoup dire. Lecture au moins qui s’efforce de ne pas rester à la surface des choses juridiques.
Quant à la troisième et dernière notice, c’est davantage de droit dans la littérature qu’il est question – de droit de la création littéraire bien sûr puisque tel est le thème de cette chronique –, sans que l’ouvrage considéré aborde nécessairement de manière frontale la question qui intéresse le juriste mais pour autant que c’est « dans ces genres non juridique [contes, bandes dessinées, romans] qu’il faut chercher la vie des normes ».
Editeur
LGDJ
Année
2017
Type
Article
Lieu
Paris
Titre du périodique
Numéro
n°1
Pages
pp. 221-233
ISBN
978 2 275 05605 0
URL
https://www.cairn.info/revue-droit-et-litterature-2017-1-page-219.htm